Afin d’éliminer les 400 millions de repas “évitables” qui sont gaspillés chaque année, the Grocer a lancé une grande campagne pour lutter contre les inefficacités qui affectent la chaîne d’approvisionnement alimentaire.
Afin de réduire les déchets de la chaîne d’approvisionnement, certaines entreprises ont commencé à inciter leurs clients à acheter des fruits et légumes “bancals”, tandis que d’autres sont allées jusqu’à distribuer gratuitement des réfrigérateurs équipés de caméras pour empêcher les clients de faire accidentellement des achats excessifs. Si une grande partie du gaspillage alimentaire est causée par le consommateur final, ces solutions s’attaquent-elles vraiment aux véritables causes sous-jacentes du gaspillage ?
Pour parvenir à une réelle réduction des déchets, les entreprises de l’industrie alimentaire doivent repenser la manière dont elles gèrent les produits frais dans leur chaîne d’approvisionnement. Après tout, comme le souligne Adam Leyland, rédacteur en chef du Grocer2 : “Qu’il soit causé par une demande plus faible que prévu ; qu’il ne réponde pas aux directives de spécification ou qu’il ait simplement dépassé sa date de péremption, le gaspillage n’est pas seulement un pain moisi ou un yaourt pelucheux. Il coûte des milliards.” Mais quelles mesures l’industrie peut-elle prendre pour surmonter ces obstacles ?
Étant donné que les commandes excessives, l’incapacité à gérer les modèles de demande volatils et la mauvaise rotation des stocks sont autant de défis majeurs que les entreprises ne peuvent se permettre d’ignorer, téléchargez cet article pour découvrir comment l’industrie peut combattre ces problèmes afin de réduire considérablement les déchets.
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